Togo First

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La filiale togolaise de Moov Africa confirme sa position dominante en matière de qualité d’expérience de l’internet mobile pour la deuxième année consécutive. Elle est également au 2è rang dans l’espace Uemoa, dépassant son concurrent YAS, ex-Togocom, désormais détenu par le groupe Axian. 

Cette performance rendue publique le mardi 28 avril 2025 par l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) résulte d’une enquête menée auprès des consommateurs togolais sur l’ensemble de l’année 2024. L’étude repose sur l’analyse de cinq indicateurs clés de la qualité d’expérience (QoE) de l’internet mobile : le débit moyen descendant, le débit moyen montant, la latence, la navigation web et le streaming de vidéos sur YouTube. 

Avec un score global de 64 865 points, Moov Africa Togo devance YAS, qui totalise 62 148 points. En 2023, Moov Africa était déjà en tête avec 55 172 points. Dans le détail, sur l’internet mobile 4G, les deux opérateurs présentent des performances solides en matière de débit descendant, avec 38,4 Mb/s pour YAS et 34,01 Mb/s pour Moov Africa Togo. Le streaming vidéo affiche également des résultats encourageants, avec des taux de réussite de 83,37 % pour Moov et 84,70 % pour YAS. Sur le plan de la latence, un paramètre déterminant pour la fluidité de la navigation, Moov Africa Togo enregistre une moyenne de 28,06 millisecondes, contre 31,16 millisecondes pour son concurrent.

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Cependant, les performances apparaissent plus contrastées lorsqu’il s’agit de la navigation web et du débit montant en 4G, deux aspects pourtant essentiels pour l’expérience utilisateur. Le taux de succès pour la navigation reste modéré, atteignant 57,34 % chez Moov Africa Togo et 52,55 % chez YAS. Quant au débit montant, indispensable notamment pour le transfert de fichiers ou les appels vidéo, il se limite à 13,15 Mb/s pour Moov et tombe à 8,91 Mb/s pour YAS.

Sur la scène communautaire, la filiale togolaise du groupe Maroc Telecom et son concurrent se positionnent. Dans l’espace UEMOA, qui regroupe huit États membres, Moov Africa Togo se hisse au 2ème rang parmi 16 opérateurs évalués, tandis que YAS occupe la 4ème place. En matière de service 4G, Moov décroche même la 1ère position, devançant son concurrent, relégué à la 3ème place. 

À l’échelle continentale, sur l’ensemble des 55 opérateurs africains scrutés, Moov Africa Togo se classe 8ème pour l’internet mobile global, tandis que YAS est à la 12ème position. Pour la 4G, Moov se distingue en accédant au 3ème rang, devant YAS, 6ème.

L’ARCEP, tout en saluant les progrès enregistrés et la dynamique concurrentielle entre les deux principaux opérateurs du pays, souligne toutefois que la qualité d’expérience reste loin des standards observés sur les marchés les plus performants, notamment en ce qui concerne la navigation internet et les vitesses de transfert montant. Le régulateur a de ce fait, invité Moov Africa Togo et YAS à intensifier leurs efforts d’amélioration continue, dans l’objectif de rapprocher leurs prestations des meilleures références africaines et internationales.

Esaïe Edoh

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Au Togo, dans la région des Savanes, au nord du pays, des jeunes et des femmes entrepreneurs du secteur agricole viennent de recevoir un appui matériel destiné à soutenir leurs activités. Cette initiative, portée par le Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (FAIEJ), a été rendue possible grâce à un financement du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) à hauteur de 348 millions FCFA.

La remise officielle du lot de matériels s’est déroulée vendredi 25 avril, sous la présidence du gouverneur de la région, Affoh Atcha-Dedji. Les équipements, destinés à améliorer les conditions de travail des exploitants agricoles, comprennent notamment deux tracteurs, huit motoculteurs, cinq tricycles, quatre-vingts semoirs, cinquante-sept pulvérisateurs, trente-cinq motopompes, cent bâches et cent sacs de stockage. 

Ce lot est réparti entre 929 agriculteurs organisés en quarante-trois coopératives issues des préfectures de Tône, Kpendjal et Oti-Sud, opérant principalement dans les filières céréalières, maraîchères et légumineuses.

Le soutien s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à la promotion de l’entrepreneuriat et du secteur privé pour la création d’emplois durables, initiative rattachée au Programme d’urgence pour la région des Savanes (PURS). Il répond à un double objectif : d’une part, accroître l’efficacité et la productivité des opérations agricoles grâce à une mécanisation adaptée ; d’autre part, favoriser l’innovation et encourager la diffusion de pratiques agricoles durables dans un contexte marqué par des défis sécuritaires croissants.

Au-delà de l’amélioration des rendements agricoles, cette initiative vise à renforcer la résilience économique des jeunes et des femmes en milieu rural, leur offrant des alternatives viables susceptibles de réduire les risques liés à l’extrémisme violent dans cette région particulièrement exposée. 

« Nous croyons fermement en votre potentiel à devenir des acteurs incontournables du développement local, à travers vos initiatives agricoles », a déclaré Affoh Atcha-Dedji à l’adresse des bénéficiaires.

Esaïe Edoh 

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Au Togo, les accords de roaming gratuit avec le Bénin et le Ghana commencent à porter leurs fruits, mais la qualité et les coûts des services varient sensiblement selon les opérateurs. C’est ce que révèle le dernier rapport d’évaluation publié en avril 2025 par les organisations de consommateurs togolaises.

Sur le segment voix (appels téléphoniques), les deux opérateurs togolais, Yas Togo et Moov Africa Togo, affichent d'excellents taux de réussite pour les appels émis et reçus, tant au Bénin qu'au Ghana (100 %).

Ceci étant, l'analyse des coûts révèle des disparités notables : au Bénin, un appel depuis Yas Togo ou Moov coûte en moyenne 90 FCFA/min, contre 175 FCFA/min au Ghana, soit presque le double. Le SMS, lui, reste relativement abordable (70 à 100 FCFA selon l’opérateur et le pays).

Côté performance, Yas Togo et Moov Africa Togo offrent une qualité d’appel satisfaisante, mais Yas Togo affiche un léger retard sur la réussite des SMS au Bénin (75 % contre 100 % pour Moov), selon l’étude.

La consommation de données, quant à elle, reste problématique : l’étude note l’indisponibilité effective des services data pour les deux opérateurs en roaming, une lacune qui nuit à l’expérience utilisateur.

Ainsi, si l’un dans l’autre le free-roaming évolue positivement dans le sens de l'intégration régionale, des efforts restent nécessaires pour harmoniser les coûts, fiabiliser la data et renforcer la transparence tarifaire, indique le rapport.

Face à ces enjeux, l'ARCEP, le gendarme des télécoms togolais, et les opérateurs, sont appelés à accélérer les ajustements techniques et commerciaux afin de garantir aux consommateurs, une véritable continuité de services à travers les frontières.

Pour rappel, le Togo a récemment conclu un nouvel accord de free-roaming avec un autre voisin, le Burkina.

Ayi Renaud Dossavi

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Au Togo, l’Agence nationale d’appui au développement à la base (ANADEB) a procédé la semaine dernière à la remise officielle de plus de 300 infrastructures socio-économiques aux communautés locales dans les régions des Plateaux, de la Centrale et de la Kara.

Dans la région des Plateaux, ce sont 99 ouvrages (dont des salles de classe, des forages d’eau potable, des centres de santé et des hangars de marché) qui ont été réceptionnés par le gouverneur, Général Dadja Maganawé.

À Sokodé, dans la région Centrale, c’est le préfet de Tchaoudjo qui a réceptionné une nouvelle série d’infrastructures : bâtiments scolaires, centres communautaires, forages photovoltaïques et marchés. Réalisés dans 15 communes entre 2021 et 2024, ces ouvrages visent à améliorer durablement les conditions de vie des populations.

Enfin, dans la région de la Kara, ce sont 109 infrastructures (dont des marchés, écoles, pistes rurales, maisons de jeunes) qui ont officiellement été livrées, au profit de 22 communes.

Ces infrastructures ont été financées notamment par le Fonds d’appui aux collectivités territoriales (FACT) et le Programme d’appui aux populations vulnérables (PAPV). Pour le gouvernement, ces réalisations s’inscrivent dans l’appui aux populations à la base ainsi que dans la politique de décentralisation.

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Le Conseil de surveillance du Fonds régional pour l’agriculture et l’alimentation (FRAA) de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a validé son plan de travail et son budget pour la période 2025-2027, en fin de semaine dernière à Lomé. À l’heure où la région ouest-africaine fait face à une aggravation de la crise alimentaire, l’institution entend renforcer son action en intensifiant le financement des programmes agricoles dans les pays membres.

Selon les dernières estimations du Cadre Harmonisé, environ 49,5 millions de personnes pourraient être confrontées à l’insécurité alimentaire au cours de la prochaine période de soudure, une situation exacerbée par le poids du Nigeria, qui concentre plus de 60 % des populations à risque. Face à cette urgence, le FRAA entend consolider ses acquis et coordonner de manière plus étroite, les interventions régionales. 

Présidée par Massandjé Touré-Litsè, commissaire de la CEDEAO chargée de l’agriculture, la session a souligné la nécessité d'une mobilisation plus importante de ressources, d’une amélioration des capacités d’absorption des États membres et d’un renforcement des partenariats techniques.

« Nous avons avancé dans les accords de financement, dans le renforcement des capacités et dans la conception de projets régionaux qui favorisent la résilience climatique, une agriculture durable et le développement des chaînes de valeur », a déclaré Massandjé Touré-Litsè. 

Le budget triennal adopté devrait ainsi permettre d’intensifier l’engagement du FRAA en faveur d’un secteur agricole plus inclusif, compétitif et résilient, capable de contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté dans l’espace communautaire.

Notons que le FRAA est géré par la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC). La mission principale du FRAA est d’assurer le financement du programme régional d’investissement de la Politique agricole régionale (ECOWAP).

Esaïe Edoh

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La Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo) et la Coopération des juniors entreprises du Togo (CJET) ont signé, vendredi 25 avril 2025, un protocole d’accord destiné à soutenir la structuration et la croissance des jeunes entreprises. L’accord, paraphé par José Symenouh, président de la CCI-Togo, et Médissa Sama, présidente de la CJET, établit un cadre formel d’accompagnement, de promotion et de valorisation des entreprises et coopératives en phase de démarrage.

L’entente cible principalement les structures ayant moins de dix années d’existence. La CCI-Togo s’engage à apporter un appui financier ainsi qu'à faciliter l'accès des jeunes entrepreneurs aux informations et ressources nécessaires à leur développement.

 « Notre objectif principal est de voir grandir ces jeunes entreprises », a déclaré José Symenouh, promettant de mettre à leur disposition des outils adaptés, notamment à travers des ateliers de formation de renforcement des capacités et de partage d’expertise.

La CJET, de son côté, prévoit de mobiliser plus de 1000 jeunes entreprises pour bénéficier de cet accompagnement. « Cette signature de convention avec la CCI-Togo est bien plus qu’un acte administratif. C’est un acte fondateur, un geste fort, un signal clair », a affirmé Médissa Sama, saluant un partenariat qu’elle juge déterminant pour l’avenir de l’entrepreneuriat dans le pays. 

Esaïe Edoh

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Au Togo, à Datcha, (160 kilomètres au nord de Lomé), l'ancienne usine textile emblématique du pays, TOGOTEX, connaît un nouveau souffle. Désormais propriété du canadien Logistik Unicorp via sa filiale Benart Afrique, l’unité économique, spécialisée dans la fabrication de tenues professionnelles, civiles et militaires, a été officiellement inaugurée en fin de semaine dernière par la Première ministre, Victoire Tomégah-Dogbé. 

La remise en service de cette usine, longtemps symbole du savoir-faire textile togolais, a nécessité un investissement de 6 milliards FCFA. Opérationnelle depuis octobre 2023, la nouvelle usine affiche une ambition : devenir un acteur de premier plan, non seulement au Togo mais aussi à l’échelle régionale.

« Notre ambition dépasse les frontières nationales. Benart Afrique aspire à devenir un pôle d'excellence régional, capable de répondre aux besoins des pays africains en matière d'habillement professionnel, civil et militaire », a affirmé Dominique Kokou Zotoglo, directeur général de l’entreprise.

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Depuis la relance de la production, l’usine a fabriqué plus de 30 000 uniformes militaires, totalisant plus de 60 000 articles confectionnés. La réouverture a permis la création de plus de 300 emplois directs, dont 85 % occupés par des femmes, ainsi que plus de 600 emplois indirects. 

Ce redémarrage industriel s’inscrit dans la volonté du gouvernement togolais de promouvoir la transformation locale, en mettant l’accent sur le développement d’une main-d’œuvre spécialisée et qualifiée. Le projet bénéficie du régime incitatif de la zone franche dédiée au textile et à l’habillement, instauré en décembre 2022. 

« Benart Afrique figure parmi les premiers projets industriels à avoir bénéficié de ce dispositif, confirmant ainsi son attractivité », a souligné Manuella Santos Modukpè, ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’Investissement. Le renouveau de l’usine de Datcha apparaît comme une illustration concrète de la stratégie nationale de relance industrielle au Togo, indique-t-on.

Esaïe Edoh

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Le Togo a effectué, ce vendredi 25 avril 2025, sa deuxième opération de levée de fonds du mois sur le marché régional des titres publics de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA). À l’issue de l’émission simultanée de bons assimilables du Trésor (BAT) et d’Obligations assimilables du Trésor (OAT), le Trésor public togolais a mobilisé 22 milliards FCFA, soit deux milliards de plus que le montant initialement recherché.

D’après les données communiquées  par l’agence Umoa-Titres, l’émission a suscité l’intérêt de vingt-trois investisseurs, qui ont proposé une enveloppe globale de 36,9 milliards FCFA, traduisant un taux de couverture de près de 185 %. 

Dans le détail, les BAT à maturité 350 jours ont concentré 25,7 milliards FCFA de souscriptions, tandis que les OAT émises sur la maturité trois ans ont enregistré 11,2 milliards de soumissions. Le Trésor togolais a finalement retenu 11,5 milliards FCFA sur les BAT et 10,5 milliards FCFA sur les OAT. 

Depuis le début de l’année, les ressources levées sur le marché régional atteignent désormais 165,5 milliards FCFA, soit près de 50 % de l’objectif annuel fixé à 332 milliards FCFA. 

Esaïe Edoh

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Au Togo, l’opérateur industriel Africa Textile Management Services (ATMS) s’apprête à lancer ses activités au sein de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) située dans la banlieue nord de Lomé. Les travaux de construction de son usine de production ont été lancés le jeudi 24 avril à l’occasion d’une cérémonie présidée par Kodjo Adedze, président de l’Assemblée nationale, dans le cadre des célébrations du 65ᵉ anniversaire de l’indépendance du pays.

Le projet, en cohérence avec l’ambition de créer un pôle textile d’envergure, prévoit un investissement de 57 milliards FCFA, soit environ 87 millions d’euros. L’usine vise à générer 2000 emplois directs à terme, et s’inscrit dans une stratégie de transformation locale des matières premières, en particulier le coton, dont le Togo est l’un des producteurs en Afrique de l’Ouest.

Dans cette optique, l’approvisionnement de l’unité sera assuré par la production cotonnière nationale, une orientation que les autorités togolaises justifient par la volonté de favoriser la transformation sur place des ressources locales. 

« À travers ces projets, la PIA s’affirme comme le symbole de notre ambition industrielle », a déclaré Kodjo Adedze à l’issue de la cérémonie de lancement.

Ce nouvel acteur s’ajoute à d’autres investisseurs dans le secteur textile sur la plateforme logistique. Comme Garment Training Center (GTC), centre de formation professionnelle, qui commercialise déjà des vêtements fabriqués localement S, et Star Garments Group Limited, filiale du groupe américain Charles Komar & Sons.

Esaïe Edoh

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Au Togo, un nouveau projet veut renforcer l’entrepreneuriat agricole des jeunes. Lancé le mardi 22 avril 2025 par le ministère en charge de l’Agriculture, avec l’appui de la FAO, le programme « Appui à la promotion de l’entrepreneuriat agricole des jeunes au Togo » cible quatre filières : riz, sésame, anacarde et manioc.

Le programme vise à renforcer les micro et petites entreprises agricoles. Formation technique, accompagnement à l’élaboration de plans d’affaires et accès facilité aux financements figurent parmi les leviers mobilisés.

Il s’annonce dans un contexte où l’agriculture emploie près des deux tiers de la population active togolaise, mais reste tout de même confrontée à des défis structurels majeurs (accès limité au financement, faible taux de transformation locale, vulnérabilité climatique).

« L’entrepreneuriat des jeunes est un axe central de notre intervention », souligne Dr Djiwa Oyétoundé, chargé de programme à la FAO-Togo. Le programme ambitionne de structurer de véritables chaînes de valeur compétitives et inclusives, tout en formant une nouvelle génération d’agro-entrepreneurs capables de devenir des modèles et d’entraîner d’autres jeunes dans leur sillage.

Il s’agira également d’appuyer la transformation économique du pays et la lutte contre le chômage des jeunes. L’accompagnement consistera notamment en des formations spécialisées, un appui à la rédaction de plans d’affaires bancables et un soutien en matière d’accès aux financements, indique-t-on.

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