Togo First

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Au Togo, la Société des Transports de Lomé (SOTRAL) a annoncé une réduction de ses tarifs, effective à partir de ce lundi 23 décembre 2024, selon un récent communiqué de la compagnie publique.

Désormais, les trajets initialement facturés à 150 F CFA passent à 100 F CFA, soit une baisse de 33 %. D'autres segments bénéficient également de réductions, avec des trajets de 250 F CFA et 300 F CFA ramenés respectivement à 200 F CFA et 250 F CFA. Même les trajets les plus coûteux, auparavant tarifés à 350 F CFA, sont abaissés à 300 F CFA.

Selon SOTRAL, cette mesure vise à rendre la mobilité plus accessible aux habitants de Lomé, particulièrement dans un contexte économique marqué par la cherté de la vie.

Baisse des prix des produits pétroliers

Cette réduction des tarifs fait suite au réajustement des prix des produits pétroliers, notamment du gazole, décidé par le gouvernement togolais le 10 décembre dernier. Le tarif du gazole a été réduit de 775 à 695 FCFA par litre, soit une baisse de 80 FCFA par litre, ce qui impacte positivement les coûts des transports.

Avant cette initiative de la SOTRAL, une baisse des tarifs interurbains avait également été appliquée pour le transport de personnes et de marchandises sur 76 trajets couvrant l’ensemble du territoire. Par exemple, les trajets Lomé-Tsévié sont désormais facturés à 800 FCFA, Lomé-Kara à 5 850 FCFA, et Lomé-Mango à 7 500 FCFA. Des lignes comme Sokodé-Mango et Dapaong-Mandouri ont été plafonnées respectivement à 3 000 FCFA et 1 800 FCFA.

Ayi Renaud Dossavi

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Le groupe de média New World TV, basé à Lomé, a amorcé une nouvelle étape de son développement à travers le continent africain. La première destination de cette expansion est le Mali, où le diffuseur a officiellement lancé, le 12 décembre 2024, son bouquet de télévision par satellite (DTH).

Désormais accessible directement sur le marché malien, le bouquet propose une offre diversifiée de programmes notamment les divertissements, les informations et les retransmissions sportives. La direction générale du groupe a exprimé sa satisfaction lors de ce lancement, le qualifiant d '« étape majeure » dans l’ambition de New World TV de renforcer les liens entre les populations africaines tout en mettant en avant le riche patrimoine culturel du continent.

Ce lancement s’inscrit dans une stratégie d’envergure du groupe visant à élargir sa présence à travers l’Afrique tout en valorisant les spécificités locales. L’entreprise a clairement affiché son ambition : produire par et pour les Africains, en Afrique, tout en offrant un contenu de haute qualité au plus grand nombre.

Pour soutenir cette vision, New World TV bénéficie d’un partenariat stratégique avec la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank). Cette collaboration a permis de conclure une facilité de financement de 245 millions d’euros, soit près de 160 milliards FCFA. Des ressources consacrées à l'acquisition des droits de diffusion d’événements sportifs majeurs.

Esaïe Edoh

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Ouverte mercredi 18 décembre 2024, la 39 ème édition de la Qinzaine commerciale, 2ème événement forain des fins d’année au Togo après la Foire Internationale de Lomé, a eu sa session inaugurale hier, jeudi 19 décembre, sur son traditionnel site d’Agbadahonoun, sur fond d’innovations. L’événement organisé par la compagnie consulaire, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCI-T), a été présidé par l’autorité tutélaire, Rose Kayi-Mivedor Sambiani, ministre chargée du commerce et de la promotion de la consommation locale, devant cadres municipaux, administratifs, religieux, des commerçants et des visiteurs.

De fait, reconnue comme principale inspiratrice de la Quinzaine commerciale, conçue à l’effet de permettre aux commerçants de liquider leurs invendus de l’année, l’AIESEC-Togo (Association Internationale des Etudiants en Sciences Economiques et Commerciales) fait son grand retour à cet événement, avec en toile de fond la reprise de sa collaboration avec la CCI-T. Ceci, pour le grand bonheur de son président Mufid Adoyi Gado qui a dans son mot de circonstance, mis l’accent sur la vocation d’une organisation estudiantine, implantée dans plus de 120 pays et territoires, qui forme ses membres, entre autres en techniques de prise de parole en public, en négociation, gestion et autres.

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En réintégrant l’AIESEC, la CCI-T, de l’avis de son président José Kwassi Symenouh, « joue pleinement son rôle en offrant aux étudiants, futurs cadres et chefs d’entreprises de notre pays, une opportunité de mettre en pratique la formation qu’ils reçoivent et de s’accomplir en valorisant leur savoir-faire et leur savoir-être au contact des opérateurs économiques confirmés. La CCI-T contribue ainsi à l’atteinte des objectifs fixés par les plus hautes autorités du Togo qui placent la jeunesse au cœur de leurs stratégies de développement », a-t-il déclaré.

Selon la ministre du commerce qui a procédé à la coupure du ruban symbolique, inaugurant officiellement l’événement, « en venant ici, les commerçants font mieux que des affaires et posent des jalons d'un avenir prospère pour l’économie togolaise ». Et de souligner qu’ : « il est impératif de continuer à aimer pour obtenir la créativité ; c’est ainsi que l’initiative de la CCI-T qui s'inscrit pleinement dans notre stratégie de promotion de la consommation locale, illustre parfaitement notre ambition de dynamiser la filière rizicole et d'autres filières afin de renforcer notre sécurité alimentaire, et réduire le déficit de notre balance commerciale tout en valorisant nos produits locaux ».

En effet, la foire met globalement à l’honneur les commerçants et les producteurs locaux, les artisans qui travaillent chaque jour pour offrir des produits de qualité. Cette diversité de produits présentés, pour toutes les bourses et tous les goûts, « est le reflet de la diversité de notre tissu économique et de la créativité des chefs d’entreprise », relève José Kwassi Symenouh.

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Notons que l’aménagement du site est fait comme suit, « pour favoriser les visites », selon le président de la CCI-T. 94 stands de 16,9 et 12 m2 sous le grand chapiteau, dédiés au Commerce général tandis que 32 stands de 16,12 et 18 m2 dans un espace aéré et convivial sont réservés à la restauration. Un stand ouvert, est exclusivement aménagé pour la Filière Riz, donc pour la promotion des différentes variétés de riz local que la CCI-T compte mettre en lumière à travers son projet PAVRIT (Projet d’appui à la valorisation du riz togolais).

A noter également que traditionnellement bouclée le 31 décembre, la 39ème édition de la Quinzaine commerciale se poursuivra jusqu’au 05 janvier 2025. Une autre innovation phare.

Séna Akoda

Au Togo, le Haut-Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l'Unité Nationale (HCRRUN) revendique plus de 3 milliards FCFA déboursés en indemnisations et soutiens au profit de 3250 victimes en 2024, avec 183 bourses d'études octroyées. L’information a été partagée hier, jeudi 19 décembre 2024, à Lomé, où le Haut-Commissariat a présenté le bilan de ses activités pour l'année.

Awa Nana-Daboya, Médiateur de la République Togolaise et présidente du HCRRUN, a rappelé l'importance de ces bilans pour garantir une gestion transparente des fonds publics. « Il est impératif pour nous de respecter les textes réglementaires et de maintenir la confiance des citoyens. », a-t-elle déclaré.

Cette année 2024 marque également une transition pour l’organisation. Dès 2025, l'accent sera mis sur les réparations mémorielles, un chantier prioritaire pour consolider les acquis de la réconciliation nationale. Ces initiatives incluront notamment la mise à l’honneur de figures historiques et politiques négligées, par des actions comme rebaptiser certaines rues et places publiques.

Depuis 2017, le HCRRUN, issu des recommandations de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR), indique avoir indemnisé plus de 30 000 victimes sur un total estimé à 40 000. 

Ayi Renaud Dossavi

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L’Université de Lomé (U.L) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD-France) ont officialisé, le jeudi 19 décembre 2024 dans la capitale togolaise, un accord-cadre de coopération. Cet accord établit les bases pour une collaboration dans divers domaines académiques et techniques et vise à valoriser ainsi qu’à renforcer les activités scientifiques dans les deux institutions.

Concrètement, les deux parties s’accordent sur la promotion et l’organisation d’échanges destinés à enrichir leurs structures respectives, tant dans leur fonctionnement interne que dans leurs relations avec les sphères économiques, industrielles, sociales et culturelles. 

Cette dynamique inclut également des initiatives conjointes pour définir et mettre en œuvre des programmes communs. Un volet particulier est consacré à la mobilité des personnels scientifiques et techniques, pour témoigner de l’engagement mutuel en faveur de la circulation des compétences et des savoir-faire.

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Prévu pour une durée initiale de cinq ans, renouvelable, cet accord marque une nouvelle étape dans les relations entre l’Université de Lomé et le CIRAD, d’après le directeur du CIRAD, Serge Marlet. Il soutient que son ambition est de construire un cadre de collaboration solide avec l’UL. Selon lui, cette coopération ouvrira la voie à des projets porteurs sur des thématiques spécifiques, à fort potentiel d’impact.

Adama Mawulé Kpodar, président de l’U.L estime que cet accord permettra à l’institution publique d’enseignement supérieur d'accompagner les efforts de l’État sur les questions de recherche agricole. Le partenariat devrait aider aussi les centres d’excellence de l’université à devenir des acteurs clés dans divers domaines.

Cette alliance avec le CIRAD s’ajoute à plusieurs autres établies par l’UL avec divers partenaires de différents secteurs.

Esaïe Edoh

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Le Togo lance deux plateformes de diffusion des données publiques, Open Data et Géoportail Open Data

Présentés jeudi 19 décembre 2024 par le ministère de l'Économie numérique et de la Transformation digitale, à travers son bras opérationnel, l'Agence Togo Digital (ATD), ces outils visent à améliorer l'accès aux données publiques pour des usages stratégiques et de planification.

Selon le ministère, ces plateformes poursuivent une double ambition : renforcer la transparence gouvernementale et accélérer la transformation numérique.

« Ces données permettront à nos citoyens, chercheurs et entrepreneurs, ainsi qu’aux visiteurs, de mieux comprendre les réalités de ces secteurs et de développer des solutions adaptées à nos besoins », a déclaré Roger Lasmothey, représentant la ministre Cinna Lawson lors de la présentation. « En facilitant l'accès à ces informations, nous promouvons la transparence, l'innovation et aussi l'inclusion », a-t-il ajouté.

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Des données ouvertes 

Les deux nouvelles infrastructures ont été dévoilées par Togbe Agbagla, Directeur Technique de l’ATD.

Dans le détail, le Géoportail Open Data (accessible via geodata.gouv.tg) regroupe des données géospatiales couvrant l'ensemble du territoire togolais. Alimenté par une collecte massive entre 2021 et 2022 dans le cadre du projet PRISE, il centralise des informations provenant de 23 ministères et plus de 550 unités administratives. Les utilisateurs peuvent visualiser des cartes interactives, accéder à des données sur les infrastructures sociales et économiques, et télécharger des jeux de données pour des analyses approfondies.

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Pour sa part, la plateforme Open Data (opendata.gouv.tg) met à disposition des données publiques essentielles, et vise, selon l'équipe de présentation, à favoriser la transparence, l'innovation et la prise de décisions éclairées. Actuellement, elle comprend des informations sur des secteurs tels que la santé, l’éducation et l’agriculture, mais devrait s’enrichir progressivement de différentes données publiques.

Des initiatives sont également prévues, indique-t-on, pour vulgariser ces nouveaux outils auprès des différents acteurs, notamment la société civile, la communauté universitaire et les chercheurs. 

Ayi Renaud Dossavi

Le Togo a obtenu mercredi 18 décembre 2024, un nouveau financement de 100 millions $ (environ 62 milliards FCFA) de la Banque mondiale pour soutenir sa transformation digitale.

Ce financement, octroyé par l’Association internationale de développement (IDA), vise à connecter environ 8 000 institutions publiques, notamment des écoles et des établissements de santé, au haut-débit. Plus d’un million de personnes devraient également bénéficier d’un accès Internet nouveau ou amélioré.

En collaboration avec la Société Financière Internationale, ce projet favorisera le développement des compétences numériques pour renforcer l’employabilité de la population et attirer davantage d’investissements dans l’écosystème entrepreneurial du pays. En outre, des infrastructures numériques résilientes au changement climatique seront développées, avec un accent sur l’efficacité énergétique et des solutions adaptées à l’atténuation des effets du climat, selon les détails fournis par la Banque mondiale.

Soutenir la compétitivité nationale

« Cette initiative connectera nos écoles, nos établissements de santé et nos institutions publiques à l’internet très haut débit, tout en dotant notre jeunesse des compétences nécessaires pour bâtir une économie compétitive et résiliente », a déclaré Cina Lawson, Ministre de l’Économie numérique et de la Transformation digitale.

Aligné sur la Feuille de route gouvernementale et le Cadre de Partenariat Pays de la Banque mondiale, ce projet positionne le numérique comme un catalyseur transversal pour la croissance, le développement économique et la compétitivité régionale.

« En mettant l’accent sur les technologies numériques, nous visons à soutenir la stratégie du gouvernement d’accélérer la transformation économique du pays », a souligné Fily Sissoko, représentant résident de la Banque mondiale pour le Togo.

Notons que quelques jours plus tôt, le Togo avait obtenu un financement de 200 millions $ pour soutenir diverses réformes administratives et sociales. Un autre appui de 300 millions $ est également prévu pour le développement des filières agricoles, plus précisément le soja et le maïs.

Ayi Renaud Dossavi

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Le capital social de la filiale togolaise de la Bank of Africa (BOA) a été porté de 15 milliards à 17,5 milliards FCFA. L’annonce a été faite mercredi 18 décembre 2024 par l’institution bancaire, précisant que cette augmentation avait été décidée lors de l’Assemblée Générale Mixte des actionnaires, tenue le 22 août 2024. 

Cette démarche s'inscrit dans le cadre des directives édictées par la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), qui exige un capital minimum de 20 milliards de francs CFA pour les institutions financières opérant dans la zone.

Malgré cette augmentation significative, la structure de l’actionnariat de BOA-Togo reste inchangée, informe la Banque. Toutefois, le nombre d’actions détenues par chaque actionnaire a été ajusté afin de refléter la nouvelle configuration du capital. La banque a confirmé que ces ajustements techniques ont été réalisés sans affecter la répartition initiale des parts entre les différents actionnaires.

Depuis 2017, l’actionnariat de BOA Togo est contrôlé à 94,46 % par BOA West Africa. Cette même année, le capital de l’établissement avait déjà été relevé de 10 milliards à 15,5 milliards FCFA. Les 5,54 % restants sont répartis entre divers investisseurs privés, parmi lesquels figure Lassiné Diawara, homme d’affaires burkinabé et actuel président du Conseil d'administration, qui détient 5 % des actions.

Dans un communiqué diffusé en août dernier, BOA-Togo avait expliqué que cette augmentation de capital se ferait par une émission de nouvelles actions gratuites. Ce mécanisme, souvent utilisé par les entreprises cherchant à renforcer leur capital sans diluer la valeur des actions existantes, permet aux actionnaires actuels de recevoir des actions supplémentaires en fonction de leurs parts actuelles, sans exiger d’investissement supplémentaire de leur part.

La banque avait également indiqué que ces nouvelles actions seraient émises par incorporation de réserves, une pratique consistant à transformer une partie des réserves accumulées en capital. Objectif : renforcer le bilan financier de l’institution sans altérer sa liquidité. 

La BOA-Togo qui a enregistré de pertes accumulées ayant entraîné un report à nouveau négatif de plus de 1,5 milliard FCFA en 2022 devrait mobiliser une nouvelle stratégie pour respecter l’exigence d’un capital minimum de 20 milliards FCFA de la banque centrale.

Esaïe Edoh

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Le Président élu du Ghana, John Dramani Mahama, s’est entretenu avec le dirigeant togolais Faure Gnassingbé le mercredi 18 décembre 2024 à Lomé. Bien qu’il n’ait pas encore pris officiellement ses fonctions, le futur dirigeant ghanéen et le chef d’État togolais ont défini les grandes lignes de la coopération entre leurs deux pays, partageant une frontière commune et des liens historiques.

Selon la présidence togolaise, les discussions entre les deux Chefs d’Etat ont été consacrées à la situation politique, économique et sécuritaire de leurs pays et de la sous-région ouest-africaine. Ces discussions ont également porté sur des questions de développement à l’échelle continentale et mondiale.

L’idée, indique-t-on, est d’œuvrer au maintien de la paix et d’un climat de bon voisinage entre les deux nations. Aussi, il s’agit de préserver les relations commerciales entre les deux voisins ouest africains.

Les deux pays se sont déjà engagés dans le renforcement de leurs relations commerciales dans le cadre de la mise en œuvre de Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAf) à travers des échanges entre leurs autorités.

Notons qu’en 2022, le volume des échanges bilatéraux entre les deux pays s’élevait à 188 millions de dollars, selon l’ONU. Les exportations togolaises vers le Ghana représentaient 75,2 millions de dollars, tandis que les importations en provenance de ce dernier atteignaient 113,3 millions de dollars. Cette même année, le Ghana était le septième plus grand marché d’exportation du Togo, absorbant 5,6 % de ses exportations totales.

Esaïe Edoh

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L’Agence Togo Digital (ATD) lance le programme des Ambassadeurs du Digital, visant à former 80 jeunes talents pour promouvoir la transformation numérique des administrations publiques.

Sous l’égide du ministère de l’Économie numérique et de la Transformation digitale, en partenariat avec la coopération allemande (GIZ) et l’Union Européenne, le programme cible 40 fonctionnaires et 40 jeunes professionnels ou étudiants. Ces participants seront formés en leadership, gestion de projets IT et développement de produits numériques.

Les fonctionnaires seront sélectionnés via un processus de nomination, tandis que les jeunes professionnels devront passer par une procédure compétitive. Ils bénéficieront de l’expertise de l’African Leadership University (ALU) - Center for Reimagined Africa (CRA), avec pour objectif de les autonomiser afin qu’ils contribuent activement à la digitalisation des démarches administratives et à la transformation numérique du secteur public.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 6 janvier 2025.

Pour postuler ou en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel

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