Au Togo, l’hôpital de référence de niveau 4, Dogta-Lafiè, ouvert à Lomé depuis avril 2023, dispose désormais d’une annexe à Kara. Elle a été inaugurée vendredi 24 janvier 2025 par le président Faure Essozimna Gnassingbé.
Cette nouvelle infrastructure sanitaire devrait contribuer à améliorer l’offre de services de santé et de soins de qualité aux populations du septentrion. Le projet étant conçu en lien avec la stratégie nationale visant à garantir une couverture sanitaire universelle d’ici à 2030.
« La construction et l’équipement de ce centre à Kara s’arriment parfaitement à l’atteinte de l’objectif de la couverture sanitaire universelle. L’objectif est de permettre à tous les concitoyens, quels que soient leur condition ou leur lieu de résidence, d’accéder à des soins de santé de qualité, ici même au Togo, surtout au plus près de chez eux », a déclaré le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Tchin Darre, lors de la cérémonie d’inauguration.
L’hôpital Dogta-Lafiè de Kara propose une gamme variée de services, notamment en imagerie et radiologie médicales, hémodialyse, ophtalmologie et soins odonto-stomatologiques. Il est équipé d’outils modernes, incluant une IRM de 1,5 tesla de haut champ, une première au Togo, ce qui permettra de réaliser des diagnostics précis pour des pathologies complexes telles que celles du cerveau, du cœur ou de la prostate.
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Le centre dispose également d’une radiographie numérisée, spécialement conçue pour les examens liés à des pathologies cancéreuses ou à des affections de l’abdomen et du petit bassin.
La mise en service de cet hôpital s’ajoute à plusieurs initiatives en cours dans le cadre du renforcement du système de santé au Togo. Parmi celles-ci figurent la réhabilitation des Centres hospitaliers universitaires (CHU) de Lomé et de Kara dans le cadre du projet ELLIPSE, la construction des hôpitaux mère-enfant. Il y a aussi la rénovation et la réception de plusieurs unités de soins périphériques (USP) dans le cadre du projet de Services de santé essentiels de qualité pour une couverture sanitaire universelle (SSEQCU).
Esaïe Edoh
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Une banque implantée au Togo a récemment été sanctionnée par la Commission Bancaire de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) à cause de ses manquements aux normes qui luttent contre le blanchiment de capitaux.
Lors de la 144e session de la Commission Bancaire, tenue le 16 décembre 2024, les régulateurs ont épinglé cet opérateur financier pour des infractions constatées dans le respect des textes légaux et réglementaires.
La banque en question a écopé d’un blâme en raison de faiblesses relevées dans son dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT).
Ces insuffisances, identifiées lors d’une inspection, ont également conduit à une sanction financière de 151 millions de FCFA, conformément à la réglementation en vigueur.
L’identité de l’opérateur togolais concerné n’a pas été précisée, une pratique habituelle pour ce type de mesure disciplinaire. L’an dernier, un autre acteur bancaire togolais, ainsi qu’un dirigeant, avaient également écopé de sanctions, pour irrégularités financières.
Ceci étant, le Togo n’est pas le seul pays concerné par des sanctions lors de cette session. Une banque implantée au Sénégal a écopé d’une amende de 300 millions de FCFA, tandis qu’un établissement situé au Bénin a été sanctionné à hauteur de 38 millions de FCFA.
Ayi Renaud Dossavi
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Le Togo s’attaque à un chantier très attendu : réorganiser ses entreprises publiques stratégiques pour améliorer leur performance et réduire les risques budgétaires. Sous programme du Fonds monétaire international (FMI), le gouvernement s’est lancé dans une série de réformes visant des entités clés comme la Société Nouvelle des Phosphates du Togo (SNPT), le Port Autonome de Lomé (PAL) et la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET).
D’après un rapport de la Cour des comptes largement relayé, ces entreprises, censées être des piliers économiques, font face à des défis majeurs en matière de gouvernance, de transparence et d’efficience. Elles ne contribueraient qu’à la marge à l’effort budgétaire national. En 2022, seulement 15,5 milliards FCFA ont été encaissés par l’État au titre des dividendes provenant de ses participations dans une vingtaine de sociétés. À fin octobre 2023, ce montant s’élevait à 14,8 milliards FCFA, selon les chiffres communiqués à la commission des finances de l’Assemblée nationale, avec des prévisions qui atteignaient 21 milliards FCFA pour l’année 2023. Côté Impôts sur les sociétés, on tournait sous la barre des 30 milliards FCFA à fin octobre 2023, d’après la même source (Parlement).
Pour remédier à cette situation, le gouvernement togolais mise sur un cadre législatif en cours d’adoption, avec l’ambition de transformer ces entités en de véritables leviers de développement économique.
Big bang prévu dans le secteur des entreprises publiques
La pierre angulaire de ces réformes est l’introduction d’audits obligatoires pour les entreprises publiques, une première. Selon nos informations, les premiers audits devraient être finalisés cette année. Si cette mesure cible initialement six entités stratégiques, elle devrait s’étendre progressivement à d’autres entreprises. Les institutions concernées sont le Port Autonome de Lomé (PAL), la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET), la Togolaise des Eaux (TdE), l’Union Togolaise de Banque (UTB), la Loterie Nationale Togolaise (LONATO) et la Société Nouvelle des Phosphates du Togo (SNPT).
En parallèle, Lomé veut resserrer l’étau sur la gestion des entreprises publiques. Un projet de loi, soumis au Parlement, entend refondre leur gouvernance et leur supervision en profondeur. Objectif : tourner la page de certaines pratiques peu optimales. Ce texte propose un cadre législatif renforcé, assorti d’une politique de propriété claire pour ces entreprises, attendue entre septembre et décembre 2025. Parmi les innovations prévues, figure également l’obligation pour ces six entreprises stratégiques de publier leurs états financiers audités dans un délai de six mois après la clôture de l’exercice fiscal. Ces documents devront être intégrés au rapport sur les risques budgétaires annexé au projet de loi de finances. Les premiers rapports financiers audités conformes à la nouvelle législation devraient être produits en 2026, pour l’exercice fiscal de 2025. Le projet de loi prévoit également l’établissement de critères de compétence pour les nominations aux postes stratégiques, dans le but de professionnaliser la gestion des entreprises publiques et de limiter les interventions politiques. En outre, ce texte introduit des contrats de performance fixant "des objectifs précis, mesurables et soumis à évaluation", indique-t-on.
L’enjeu est double : améliorer la transparence et la gestion financière des entreprises publiques, tout en renforçant la supervision parlementaire pour mieux cerner les risques budgétaires qu’elles représentent. Une réforme ambitieuse qui, si elle est adoptée, pourrait redéfinir les contours de la gestion publique au Togo, dans un contexte où le pays a récemment sollicité le FMI pour un examen diagnostique de gouvernance. Selon des sources proches du dossier au sein de l’institution de Bretton Woods, un audit complet des comptes publics et de gouvernance est en préparation, sur demande des autorités togolaises elles-mêmes. Cependant, les premiers rapports ne devraient être disponibles qu’en 2026, en raison de contraintes liées à la mobilisation des équipes du FMI, ont-elles confié à Togo First.
UTB : une restructuration qui pourrait fait école
L’Union Togolaise de Banque, en proie à des difficultés financières depuis plusieurs années, représente un exemple emblématique des défis auxquels ces réformes tentent de répondre. En 2024, l’État a procédé à une recapitalisation équivalant à 1,5 % du PIB pour stabiliser l’établissement. Un audit externe a permis d’identifier les faiblesses de sa gestion et un plan de restructuration est en cours de mise en œuvre.
"Le redressement de l’UTB est essentiel pour montrer que ces réformes peuvent produire des résultats tangibles", souligne un économiste basé à Lomé. Une privatisation partielle de la banque pourrait être envisagée à partir de 2025, à condition que sa rentabilité soit rétablie, apprend-on. La restructuration de l’UTB pourrait faire cas d’école, apprend-on. Mais il reste encore du chemin.
La CEET et la TdE, au centre de la batterie de réformes attendue
La réforme touche également la CEET et la TdE, deux entreprises essentielles pour fournir l’électricité et l’eau à la population. Ces entités devront ajuster leurs tarifs pour refléter les coûts réels de production. Toutefois, des mécanismes de soutien sont prévus pour protéger les ménages les plus vulnérables.
Le gouvernement mise également sur des projets d’investissement pour améliorer l’accès à l’énergie et diversifier les sources d’approvisionnement. Des projets solaires de 130 MW et le développement du barrage de Titira font partie des investissements clés que le gouvernement est en train de déployer.
Un tableau de bord pour surveiller la performance
Et pour garantir une meilleure gestion des entreprises publiques, un tableau de bord est déjà en train d’être mis en place pour suivre leur performance financière et opérationnelle en temps réel. Ce dispositif devrait permettre d’identifier rapidement les problèmes et d’ajuster les politiques en conséquence, promettent les autorités togolaises. De plus, les projets d’investissement des entreprises publiques seront intégrés au budget national afin d’améliorer la coordination et de limiter les redondances dans l’utilisation des ressources publiques.
Un pari sous haute surveillance
Le FMI, qui accompagne le Togo dans ce processus, surveille de près l’avancée des réformes. L’institution a salué les progrès réalisés tout en rappelant l’importance d’une mise en œuvre rigoureuse, et dit s’attendre à ce que les choses s’accélèrent, d’autant que ces réformes font partie intégrante du programme de financement de 390 millions $ sur 42 mois au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) en cours avec l’institution de Washington.
Fiacre E. Kakpo
Le Togo cumule désormais 44 milliards FCFA mobilisés sur le marché financier régional de l’Union Monétaire Ouest-Africaine (Umoa). Ceci, à la suite d'une nouvelle opération sur le marché financier régional qui lui a permis d'engranger quelque 22 milliards FCFA le vendredi 24 janvier 2025. Plus exactement, une émission simultanée de Bons Assimilables du Trésor (BAT) et d’Obligations Assimilables du Trésor (OAT) pour lever 20 milliards FCFA.
D’après les données publiées au terme de l’opération, le Togo a suscité un vif intérêt auprès des investisseurs qui ont effectué des soumissions totales de 46 milliards de FCFA, représentant un taux de couverture de 234,16 %.
Sur les BAT dont la maturité est fixée à 364 jours et assortis d’un taux d’intérêt multiple, le Trésor togolais a levé 7 milliards FCFA. Sur les OAT, émises sur une maturité de trois ans avec un taux d’intérêt annuel de 6,25 %, le pays a mobilisé 15 milliards de FCFA.
Pour l’année en cours, le Togo s’est fixé l’objectif de lever un total de 332 milliards de FCFA afin de financer son budget national, évalué à 2 397 milliards FCFA.
Esaïe Edoh
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Au Togo, la ville de Kara accueille le premier Centre des maladies infectieuses (CMI). L’infrastructure, inaugurée le 24 janvier 2025 par le Chef de l’État, Faure Gnassingbé, devrait renforcer le système de santé national.
Doté de 43 lits et d’équipements de pointe, le CMI est conçu pour répondre efficacement aux maladies infectieuses, y compris en période d’épidémie. Il comprend une unité de soins intensifs, un service d’hospitalisation, une pharmacie, ainsi que des services annexes comme la stérilisation et le traitement des déchets médicaux.
Cette infrastructure moderne, financée à hauteur de plus de deux milliards de FCFA grâce au gouvernement et de partenaires tels que la coopération allemande (KfW) et l’ONG Santé Intégrée, s’inscrit dans le cadre du Programme de renforcement du système sanitaire et de santé reproductive (PRSS-SRDS).
Avec cette opérationnalisation, le CMI de Kara vient compléter un réseau de neuf centres de traitement des épidémies, répartis dans tout le pays.
Ayi Renaud Dossavi
Au Togo, l'installation des comités régionaux de concertation entre l'État et le secteur privé (CCESP) a débuté par la région de la Kara. C’était le jeudi 23 janvier 2025 à Kara, en présence du ministre de l’Économie et des Finances, Georges Barcola, également président du comité technique de concertation.
Ces comités régionaux ont pour mission d'animer le dialogue entre les acteurs publics et privés dans leur zone de compétence. De fait, leur mandat comprend plusieurs volets : recueillir et examiner les préoccupations exprimées par les parties prenantes, veiller à leur prise en charge, et faciliter l'accès à l'information concernant les programmes, stratégies et réformes en faveur du développement économique régional. Ces comités sont également appelés à renforcer les compétences des acteurs économiques locaux.
Selon l’argentier du gouvernement, la création des antennes régionales du CCESP s'inscrit dans la continuité des avancées enregistrées en matière de collaboration entre l’État et le secteur privé. Il a précisé que le comité de Kara jouera un rôle pilote dans l’opérationnalisation de ce mécanisme de concertation permanente.
Le ministre a par ailleurs appelé les différents acteurs à s'engager activement dans cette plateforme, afin de consolider la culture du dialogue dans le pays, notamment entre les pouvoirs publics et les entreprises.
Pour rappel, le CCESP, créé en 2017, a pour vocation de favoriser une meilleure compréhension mutuelle entre les acteurs publics et privés. Ce cadre ambitionne d'établir une relation de confiance réciproque, indispensable au développement économique du Togo.
Esaïe Edoh
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Au Togo, les usagers de la route nationale N°1 devront adapter leur itinéraire du vendredi 24 au mardi 28 janvier 2025, en raison des travaux sur la passerelle d’Adétikopé.
Selon un récent communiqué du ministre des Travaux publics et des Infrastructures, Sani Yaya, le trafic en direction du nord depuis la capitale Lomé sera temporairement dévié sur la seconde chaussée à l’ouest, afin de permettre la réalisation des travaux nécessaires à l’entretien de la passerelle.
Cette mesure vise à garantir la sécurité des usagers tout en facilitant la progression des travaux dans les délais impartis. Des panneaux de signalisation seront installés pour guider les automobilistes et minimiser les désagréments.
Ces travaux au niveau de la passerelle d’Adétikopé interviennent quelques semaines après un accident qui avait gravement endommagé la structure piétonne au niveau d'Agoè-Nyivé. Cet incident, ayant conduit à l’effondrement partiel de la passerelle, avait suscité une vive réaction sur les réseaux sociaux.
Dans ce contexte, l’Union Nationale des Transporteurs Routiers du Togo (UNATROT) avait notamment organisé une rencontre avec les acteurs du secteur pour sensibiliser au respect des lois et normes de sécurité en vigueur, afin d’éviter de tels incidents à l’avenir.
Ayi Renaud Dossavi
Le Togo se prépare à marquer de son empreinte l’Exposition Universelle Osaka 2025, qui se tiendra au Japon du 13 avril au 13 octobre 2025, sur le thème : « Concevoir la société du futur, imaginer notre vie de demain ».
Pour sa sixième participation à une exposition universelle, le pays d’Afrique de l’Ouest entend profiter de l’événement pour renforcer son attractivité et diversifier ses opportunités économiques.
Selon une communication présentée le 22 janvier 2025 au Conseil des ministres par le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, la participation togolaise s’inscrit dans la section thématique « Sauver des vies ». Le Togo mettra particulièrement en avant sa « politique d’inclusion et de protection sociale pour une croissance économique forte ».
Journées phares : 19 et 21 août
Pour Lomé, l’exposition universelle constitue une plateforme stratégique pour promouvoir son patrimoine culturel et naturel, ses produits et services, ainsi que son potentiel d’investissement.
Dans ce cadre, la journée économique du Togo est prévue pour le 19 août et sera dédiée à la présentation des atouts économiques et des projets structurants. Par ailleurs, le 21 août marquera la journée nationale du Togo, offrant une vitrine privilégiée pour mettre en lumière son dynamisme économique et son ouverture aux partenariats internationaux.
Ayi Renaud Dossavi
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Un Forum International sur la Protection des Données à Caractère Personnel (FIPDCP) se tiendra du 28 au 30 juillet 2025 à Lomé.
Cet événement réunira des experts internationaux et des acteurs locaux pour sensibiliser à l’importance de la protection des données personnelles et proposer des solutions adaptées au contexte africain. Les discussions porteront sur des enjeux cruciaux tels que la confidentialité des informations, incluant noms, adresses, photos, ou encore données numériques comme les adresses IP.
Cette rencontre stratégique sera une plateforme d’échanges d’expériences internationales et de renforcement des capacités des acteurs locaux. Elle intervient dans un contexte où le Togo a adopté, ces dernières années, des lois inspirées du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) européen. Toutefois, la mise en œuvre effective de ces législations demeure un défi majeur.
Notons du reste qu’au Togo, l’Instance de Protection des Données à Caractère Personnel (IPDCP), annoncée il y a cinq ans, est opérationnelle depuis octobre dernier, marquant une avancée dans la gouvernance numérique du pays.
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Au Togo, la société hongroise Pureco a été retenue pour participer à la mise en œuvre du Plan directeur d’assainissement du Grand Lomé. Un mémorandum d’entente a été signé à cet effet entre cette dernière et les ministères togolais de l’Eau et de l’Assainissement ainsi que de l’Économie et des Finances.
Dans le cadre de cet accord, Pureco, spécialisée dans le nettoyage écologique, va construire deux stations de traitement des boues de vidange, situées respectivement à Aképé et Djagblé (des localités situées respectivement au nord-ouest et nord-est de Lomé). Ces installations, prévues dans le Plan directeur d’assainissement, visent à améliorer la gestion des déchets liquides. L’objectif est de réduire l’impact environnemental des activités humaines tout en contribuant à l’accès à une eau potable de qualité pour les populations locales.
? Le Togo et la Hongrie unissent leurs forces pour améliorer l’assainissement du Grand Lomé ! Signature d’un MoU avec PURECO pour la construction de 2 stations de traitement de boues de vidange à Aképé et Djagblé. Un pas de plus vers un Togo plus propre !
— Mila AZIABLE (@MilaAziable) January 23, 2025
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Concrètement, les nouvelles infrastructures auront un rôle important dans la lutte contre la pollution des eaux et des sols. Elles permettront de mieux gérer les déchets liquides et de prévenir les maladies liées à l’eau, renforçant ainsi les efforts d’assainissement dans le Grand Lomé.
La construction de ces stations de traitement de boues de vidange vient s’ajouter à plusieurs autres initiatives ayant des objectifs similaires à travers divers projets comme le Projet d’aménagement urbain du Togo (PAUT 2).
Esaïe Edoh
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