Togo First

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Lomé, la capitale togolaise, accueille cette semaine, le premier Sommet de la Coopération Énergétique en Afrique de l’Ouest (WA-ECS), un événement stratégique pour une région où la moitié de la population reste sans accès à l’électricité. L’objectif affiché est ambitieux : mobiliser les investissements nécessaires pour moderniser des infrastructures énergétiques vieillissantes et mal interconnectées.

Organisé par EnergyNet, spécialiste de la promotion des investissements énergétiques, en partenariat avec l’État togolais et avec le soutien de la Banque mondiale, cet événement rassemble gouvernements, institutions financières et entreprises privées autour du thème : « Bâtir une souveraineté énergétique pour un développement durable ».

Le coup d’envoi a été donné mardi 3 décembre 2024 par la Première ministre togolaise, Victoire Tomégah-Dogbé. « Ce sommet est une opportunité unique de poser les bases d’un partenariat stratégique, capable de transformer les réalités énergétiques pour un avenir plus sûr et durable de nos populations », a déclaré la cheffe du gouvernement dans son discours inaugural.

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Les discussions du WA-ECS se concentreront sur trois axes principaux : l’interconnexion des réseaux électriques pour mutualiser les ressources, l’intégration accrue des énergies renouvelables dans le mix énergétique, et la mobilisation des financements nécessaires, estimés à 30 milliards de dollars d’ici à 2030.

Une crise énergétique persistante

Avec un taux moyen d’électrification de 56 %, l’Afrique de l’Ouest fait face à des disparités marquées : en zone rurale, l’accès à l’électricité tombe à moins de 10 % dans certains pays, ce qui limite l’accès à l’éducation, à la santé et à l’emploi pour des millions de personnes.

Ce retard coûte cher : la Banque mondiale estime que les pertes économiques dues aux insuffisances énergétiques représentent jusqu’à 4 % du PIB annuel dans certains pays ouest-africains.

Un potentiel sous-exploité

La région dispose pourtant de ressources importantes. Avec une capacité hydroélectrique exploitable de 5000 MW, seuls 20 % de ce potentiel sont actuellement utilisés. Le solaire et l’éolien, particulièrement prometteurs dans les pays sahéliens, restent encore largement sous-développés.

« Le gaz naturel, avec des découvertes récentes au Sénégal, en Mauritanie et en Côte d’Ivoire, pourrait également jouer un rôle clé dans le mix énergétique régional », a déclaré Sediko Douka, commissaire chargé de l’énergie et des mines de la CEDEAO.

Pour répondre à la demande croissante – qui augmente de 6 % par an –, le plan directeur des infrastructures énergétiques de la CEDEAO (2019-2033) prévoit la production de 16 000 MW supplémentaires et la construction de 23 000 km de lignes d’interconnexion, pour un coût total estimé à 36 milliards de dollars.

Depuis 2020, plus de 5 milliards de dollars ont été injectés dans des projets structurants en Afrique de l’Ouest. Une somme colossale, mais qui porte ses fruits : les coûts de production d’électricité ont chuté de 30 à 40 % dans plusieurs pays, selon Kwawu Mensan Gaba, directeur de la pratique énergie à la Banque mondiale.

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Il a ajouté que des initiatives telles que la ligne Ghana-Togo-Bénin — 350 km désormais opérationnelle — ou celle qui relie la Côte d’Ivoire, le Libéria, la Sierra Leone et la Guinée, ou encore le gazoduc ouest-africain illustraient les avancées en matière de coopération régionale : « Grâce au West African Power Pool, l’intégration des réseaux nationaux progresse et les résultats sont prometteurs. Dans plusieurs pays, cette approche a permis de réduire le coût moyen de production d’électricité de 30 à 40 %. Ces avancées montrent que la mutualisation des infrastructures peut avoir un impact significatif sur la compétitivité énergétique régionale. »

Même son de cloche chez Abdoulaye Sylla, gestionnaire de portefeuille chez EnergyNet : « L'interconnexion de nos réseaux électriques, la mutualisation des ressources et la coordination des politiques énergétiques permettront de maximiser la capacité de l'énergie. »

Le modèle togolais : un exemple pour la région

Le Premier ministre togolais, Victoire Tomégah-Dogbé, a présenté un bilan positif des avancées énergétiques réalisées par le Togo. En quatre ans, le taux d’électrification est passé de 52 % à 69 %. L’objectif affiché : une couverture universelle à l’horizon 2030.

« L’énergie est au cœur de nos ambitions de développement durable… L’énergie est la clé de voûte de notre avenir… une question de justice sociale », a-t-elle déclaré lors de son intervention.

Pour appuyer ces efforts, 137 MW de centrales de sources renouvelables sont actuellement en cours d’installation, ce qui consolide le rôle du Togo comme acteur régional dans la transition énergétique. Le pays abrite aujourd’hui l’une des centrales photovoltaïques les plus importantes de la sous-région. 

Au-delà des réussites nationales, les attentes à l’égard du sommet sont élevées. Une déclaration commune devrait acter des mesures concrètes pour accélérer l’intégration énergétique régionale et favoriser les partenariats public-privé. « Ce sommet n’est pas seulement un cadre de dialogue entre gouvernements et secteur privé. Il doit être un catalyseur pour des actions concrètes. Je vous invite à mettre en œuvre des solutions pragmatiques, à définir des projets prêts à être exécutés et à renforcer les liens entre les gouvernements, les chercheurs, les entreprises et les acteurs de la société civile », a martelé la cheffe du gouvernement togolais.

Fiacre E. Kakpo

A l’approche des fêtes de fin d’année, le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale poursuit ses démarches pour garantir la qualité des produits alimentaires sur les marchés togolais.

Lundi 2 décembre 2024, la ministre Kayi Mivedor-Sambiani a rencontré les associations de consommateurs, notamment la Ligue Togolaise des Consommateurs (LTC) et l’Association Togolaise des Consommateurs (ATC), afin de renforcer leur collaboration. Cette rencontre fait suite à une récente visite de contrôle sur les marchés.

Lutter contre les pratiques commerciales abusives

Les échanges ont porté sur des problématiques récurrentes comme la spéculation sur les prix, la vente de produits périmés et la falsification des marchandises.

La ministre a rappelé l’importance d’une vigilance accrue, tant pour les commerçants que pour les consommateurs. « Nous renforçons les contrôles en décembre pour garantir que seuls des produits conformes et propres à la consommation humaine soient proposés sur les marchés », a-t-elle indiqué.

Selon Koffi Agboka, responsable de la commission Santé-Environnement de l’ATC, le ministère s’engage à intensifier les contrôles pour prévenir ces dérives. « [La ministre] nous a conviés à intensifier notre collaboration pour mieux protéger les consommateurs », a-t-il précisé.

Le ministère de tutelle a également invité les consommateurs à être attentifs à la qualité des produits et à signaler toute pratique commerciale anormale via le numéro vert 8585. 

Le Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF) vient de dévoiler plusieurs mesures visant à renforcer la sécurité et faciliter la circulation à la Foire Internationale de Lomé (FIL), en prévision d’un week-end à forte affluence. Cet événement phare, qui se déroule sur le site de Togo-2000, s’apprête à accueillir des milliers de visiteurs entre le 6 et le 8 décembre.

Ainsi, les approvisionnements seront limités aux créneaux matinaux, de 6h à 10h30, pour fluidifier l’accès au site. De plus, les véhicules non prioritaires devront stationner sur les parkings extérieurs, tandis que le parking réservé aux sponsors sera fermé à partir de 14h.

Interdiction de la vente ambulante

Par ailleurs, la vente ambulante est strictement interdite sur le site et dans ses environs immédiats, une mesure visant à préserver l’ordre et le confort des visiteurs. Les concerts, moments forts de l’événement, se tiendront chaque soir de 19h à 23h.

Pour répondre aux attentes d’un public nombreux, la circulation autour du site sera régulée dès 13h, avec un périmètre de sécurité élargi pour mieux gérer les flux. Alexandre de Souza, Directeur Général du CETEF, a rappelé que des ajustements complémentaires pourraient être mis en œuvre si nécessaire.

Pour rappel, cette 19ème édition de la Foire Internationale de Lomé qui a ouvert ses portes le vendredi 22 novembre 2024, a le Mali comme pays à l’honneur. L’événement revendique 22 pays participants et anticipe une fréquentation de plus de 600 000 visiteurs cette année.

Ayi Renaud Dossavi

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Le Togo dispose désormais d’une version actualisée de son Guide de l’Exportateur, un outil destiné à soutenir les entreprises exportatrices du pays. Ce document de 80 pages, publié en juillet 2024 par le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, avec l’appui de la GIZ, vise à renforcer la compétitivité des opérateurs économiques togolais sur les marchés régionaux et internationaux.

Inscrit dans le cadre de la Politique nationale de développement du commerce, actualisée en 2022, ce guide veut notamment accroître la visibilité des produits d’exportation togolais, faciliter les échanges commerciaux et les mises en relation, et orienter les entreprises vers des marchés potentiels.

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Le document répertorie les entreprises exportatrices de produits agroalimentaires togolais et fournit des informations techniques et réglementaires pour accompagner les acteurs dans leurs processus d’exportation.

Selon Rose Kayi Mivedor, ministre de tutelle, « cette nouvelle version du guide de l’exportateur aura un impact positif sur le développement du commerce extérieur et contribuera à redynamiser les affaires pour les opérateurs économiques exportateurs togolais ».

Télécharger le Guide de l’exportateur.

Ayi Renaud Dossavi

Après le Kenya, c’est au tour de Djibouti de solliciter le soutien du Togo pour diriger la Commission de l’Union africaine (UA) dont le renouvellement des instances approche. Le lundi 2 décembre 2024, une délégation djiboutienne conduite par le ministre de la Santé, Ahmed Robleh Abdilleh, a officiellement présenté cette requête au président togolais, Faure Gnassingbé, lors d’une audience à Lomé.

Au cours de cette rencontre, l’émissaire djiboutien a exposé les ambitions de son pays pour le continent. Il a mis l’accent sur les projets et les réformes envisagés pour répondre aux défis auxquels l’Afrique est confrontée. Parmi ces enjeux figurent les conflits armés et l’instabilité politique, les difficultés liées à l’intégration économique, les impacts des changements climatiques, ainsi que le manque de cohésion et de leadership au sein de l’organisation continentale.

Djibouti, au-delà de sa candidature à la présidence de la Commission de l’UA, a exprimé son souhait de travailler étroitement avec le Togo pour relever ces défis. Le pays de la Corne de l’Afrique voit dans le Togo un partenaire stratégique, en raison de l’influence croissante de ce dernier sur la scène diplomatique africaine. Cette reconnaissance est notamment attribuée au rôle de médiateur joué par Faure Gnassingbé dans plusieurs crises politiques et diplomatiques sur le continent.

« Le Togo est un pays qui joue un rôle très important sur l’échiquier régional, au niveau de la CEDEAO et en Afrique. La République de Djibouti est candidate à la présidence de la Commission de l’Union africaine et j’ai sollicité le soutien du chef de l’État, Faure Gnassingbé, et de la République Togolaise dans ce projet », a déclaré Ahmed Robleh Abdilleh.

Cette démarche de Djibouti intervient quelques jours seulement après une sollicitation similaire du Kenya, qui soutient la candidature de Raila Odinga, ancien Premier ministre du pays, pour diriger la Commission de l’UA. 

Esaïe Edoh

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Au Togo, les entrepreneurs agricoles appellent à une réforme fiscale pour alléger les charges qui pèsent sur leurs activités. En fin novembre, une première rencontre entre ces opérateurs, le ministère de l’Économie et des Finances et l’Office Togolais des Recettes (OTR) a marqué le début d’un dialogue visant à trouver des solutions adaptées.

Lors de cette réunion, les représentants des entreprises agricoles ont exprimé leurs préoccupations face à des taxes douanières et à la TVA appliquées sur certains intrants et équipements essentiels. Ils estiment que ces prélèvements alourdissent considérablement leurs coûts opérationnels, freinent le développement de leurs activités et limitent l’attractivité du secteur pour les entrepreneurs et investisseurs.

Dans leurs propositions, les entrepreneurs ont plaidé pour une fiscalité plus adaptée aux spécificités du secteur agricole. Parmi leurs principales propositions, figurent la réduction ou l’exonération des taxes sur les intrants agricoles essentiels, comme les semences, les engrais ou les produits phytosanitaires. Ils ont également appelé à la simplification des procédures fiscales pour les petits producteurs, souvent confrontés à des formalités complexes et coûteuses. 

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Par ailleurs, des incitations fiscales en faveur de la mécanisation et de la transformation locale des produits agricoles ont été proposées, avec pour objectif d’encourager l’innovation et de renforcer la compétitivité du secteur.

Les autorités, tout en accueillant ces doléances, ont rappelé l’importance pour les acteurs agricoles de continuer à respecter les dispositions fiscales en vigueur, en attendant l’issue des discussions. Cette initiative s’inscrit dans un contexte où le Togo aspire à renforcer sa sécurité alimentaire et à dynamiser son économie à travers le développement de l’agriculture. 

Il convient toutefois de noter que des efforts ont déjà été consentis dans ce domaine. Depuis 2020, le matériel agricole bénéficie d’une exonération des droits de douane et de la TVA à l’importation. Une mesure saluée par les acteurs du secteur mais jugée insuffisante pour couvrir l’ensemble des besoins liés aux intrants et à la transformation des produits agricoles.

Esaïe Edoh

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À la fin de l'année 2023, 105 000 personnes vivaient avec le VIH/SIDA en 2023, avec une prévalence de 1,6 % chez les personnes de 15 à 49 ans. Sur ce total, 90 % ont été dépistées, 84 % sont sous traitement antirétroviral, tandis que 76 % ont réussi à supprimer leur charge virale.

L’information a été partagée en fin de semaine dernière, le 29 novembre 2024, lors d’une conférence de presse organisée par le Conseil National de Lutte contre le Sida et les Infections Sexuellement Transmissibles (CNLST/IST). La rencontre a permis aux autorités de partager les avancées du pays et les défis à relever, à l’occasion de la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida 2024. Le thème de cette année était : « Suivons le chemin des droits ».

En termes d’autres avancées, le taux de couverture du Programme de Prévention de la Transmission de la Mère à l’Enfant (PTME) a atteint 85 %. Le nombre de décès liés au Sida a également diminué de manière significative, passant de 6600 en 2010 à 2300 en 2023.

Cette évolution marque un taux de diminution de 65,15 % sur la période, soit une réduction annuelle moyenne des décès de près de 8 %.

Ayi Renaud Dossavi

Au Togo, de nouvelles formalités sont disponibles sur la plateforme digitale Services publics, avec l’appui opérationnel de l'Agence Togo Digital (ATD).  Il s'agit notamment de services du Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile, à savoir : l'autorisation de vitres teintées, la couverture sécuritaire pour événements privés, l’électrification de fils barbelés et l'autorisation d’entrée au pays, qui s'ajoutent à la série de démarches administratives déjà existantes sur la plateforme publique.

Le processus reste le même : les usagers doivent consulter les informations relatives au service, remplir le formulaire en ligne, l’imprimer et déposer leur dossier au Secrétariat Général du Ministère.

Cette nouvelle évolution s’inscrit dans le cadre des démarches visant à simplifier les démarches administratives, améliorer l’efficacité des services publics et renforcer la transparence dans la gestion des demandes, grâce au digital.

Outre le ministère de la sécurité et de la protection civile, d’autres départements ont entamé la digitalisation de leurs services, notamment le ministère en charge du commerce, de la consommation locale et de l'industrie, avec déjà huit démarches en ligne. 

Ayi Renaud Dossavi

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Le Togo et la société américaine Nano Nuclear Energy ont conclu le lundi 2 décembre 2024 à Lomé, un accord de production d’électricité à base de microréacteurs nucléaires dans le pays ouest-africain. La signature est intervenue entre le ministre togolais des mines et des ressources énergétiques, Robert Messan Eklo, et le président de Cambridge Nuclear Energy Centre, Ian Farnan. C’était en présence du président togolais Faure Gnassingbé.

Nano Nuclear Energy, une entreprise américaine reconnue pour son expertise dans le développement de solutions d'énergie propre, mettra en œuvre des technologies avancées pour répondre aux besoins énergétiques croissants du Togo. Précisément, elle va déployer son expertise pour l’exploitation des petits réacteurs modulaires (SMR), une approche qui consiste en la production de fission nucléaire pour générer de la chaleur, convertie ensuite en électricité. 

Avec une capacité pouvant atteindre jusqu'à 300 mégawatts électriques, ce système offre une alternative compétitive et moins coûteuse pour la production d'énergie nucléaire.

Pour accompagner l'exécution de cet accord, les autorités togolaises prévoient la création de la « Togo Atomic Energy Commission » (TAEC). Cette entité aura pour mission de promouvoir les applications pacifiques et civiles des sciences et technologies nucléaires. 

Cette signature d’accord, pour rappel, s'inscrit dans un contexte où le Togo ambitionne d'atteindre une couverture universelle en électricité d'ici à 2030. Le recours à des technologies avancées comme les SMR souligne la volonté du pays de diversifier ses sources d'énergie tout en intégrant des solutions respectueuses de l'environnement, indique la présidence togolaise.

Esaïe Edoh

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Au Togo, la ministre en charge du commerce et de la consommation locale, Rose Kayi Mivedor, a effectué en fin de semaine dernière (samedi 30 novembre 2024), une descente dans les marchés du Grand Lomé, notamment à Adawlato et Adidogomé.
Accompagnée d’une équipe d’inspecteurs et de contrôleurs du commerce, il s’est agi pour la ministre de vérifier le respect des réglementations concernant les prix des produits, leur qualité et la protection des denrées périssables.
L’opération intervient dans le cadre de la surveillance du marché et du contrôle des prix, ainsi que de la qualité des produits alimentaires de première nécessité. L’objectif est notamment de renforcer la confiance des consommateurs et d'encourager l’achat de produits locaux.
« Notre objectif est de garantir la sécurité des produits et de soutenir la consommation locale », a précisé la ministre.
L’opération visait à assurer la sécurité des consommateurs et à prévenir la vente de produits périmés.
La période choisie, à l’orée du mois de décembre, n’est pas anodine et correspond au contexte des fêtes de fin d’année, marquées par le déstockage au niveau de nombreux commerçants.
Dans la foulée, la représentante du gouvernement rappelle que des sanctions seront appliquées en cas de non-respect des normes en vigueur.
Ces inspections se poursuivront, du reste, à l’échelle nationale.

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